Château la Tour de l'évêque

50 rosés pour appeler l’été – Le Journal de Montréal

  • by: pierrot
  • 28 mai 2019

Par le BLOGUES Les Méchants Raisins

Patrick Désy, Mathieu Turbide et Nadia Fournier – Samedi 25 mai

C’était devenu une tradition : célébrer l’arrivée de la chaleur et du soleil printaniers en ouvrant une bonne bouteille de rosé très frais. Mais cette année, au Québec, les occasions de célébrer ont été plutôt rares. Qu’à cela ne tienne, si le beau temps tarde à pointer le bout de son nez, nous suggérons de l’appeler de nos vœux en maintenant la tradition. Peut-être qu’à force de boire du rosé, on finira par se croire réellement en été !

Plus sérieusement, la mode du rosé n’est pas sur le point de s’essouffler. Ça saute aux yeux en voyant la sélection de plus en plus variée et intéressante de rosés d’un peu partout qui arrive sur les rayons de la SAQ à l’approche de l’été. Un constat : le rosé prend sa place comme un véritable vin de qualité, et non plus seulement comme un vin « de piscine et de terrasse ». Nous vous suggérons donc, cette année encore, plus de rosés haut de gamme, même des rosés de garde, ainsi qu’une sélection de rosés du Québec. Sans oublier les classiques, et même les rosés vendus en… épicerie.

Nouvelle collaboratrice

Vu que le rosé est symbole de renouveau, on en profite pour vous annoncer que les Méchants Raisins s’associent à Nadia Fournier, l’auteure du Guide du vin Phaneuf, publié chaque année depuis 38 ans aux Éditions de l’Homme. Nadia collaborera aux chroniques vins et au blogue des Méchants Raisins, ainsi qu’à plusieurs autres projets à venir, pour partager avec vous sa passion du vin.

Petite note au sujet des notes:

Contrairement à l’habitude des Méchants Raisins, les vins évalués dans ce petit guide des rosés le sont en ne tenant compte que de la catégorie des rosés. Cela veut dire que le nombre d’étoiles est attribué en comparant les vins rosés entre eux et non pas avec l’ensemble des vins, y compris les plus grands. Un rosé qui se voit accorder quatre étoiles est donc un rosé excellent, mais cela ne veut pas dire qu’il se compare à un grand cru de Bordeaux à qui on pourrait aussi attribuer quatre étoiles en les comparant aux autres grands crus de Bordeaux.

De cette manière, nous pouvons mieux nuancer nos appréciations.

Bonne lecture!

CLASSIQUES

L’une des stars des rosés de Provence – à tout le moins pour les Québécois –, le Pétale de rose 2018 est fidèle à lui-même : teinte très pâle, arômes floraux avec des touches d’agrumes et de framboise, sec et chaleureux en bouche, il laisse une longue finale agréable. Une autre belle cuvée pour Régine Sumeire.
13,5 % – 1,3 g/l – 20,60 $ – CODE SAQ : 425496
Retrouver l’article en intégralité sur : www.journaldemontreal.com
PHOTO ADOBE STOCK